Alright, accrochez-vous, je me lance dans l’achat d’un nouvel immeuble. Mon apport est prêt à rugir, et c’est parti pour l’aventure !
Tout d’abord, il me faut définir mes critères et le mode d’exploitation. Pour la banque, je vais briefer sur un projet de location meublée à l’année. Mais moi ? J’opterai pour la location courte durée pendant au moins les 10 premières années. Deux flèches à mon arc : je booste ma valeur nette et je profite d’une rentabilité à tomber par terre !
Voici mes critères de recherche :
Après quelques visites et des offres posées, c’est le grand jeu ! Et hop, je tombe sur une perle : un immeuble avec une boutique traversante et un appartement sur trois étages. La localisation est parfaite, mais niveau déco, c’est un retour dans les années 70, avec quelques pigeons comme colocs…
L’escalier est bien placé : il ose une déduction rapide, et chaque palier peut accueillir deux appartements. En tout, on peut envisager 4 studios et 2 T2, et la boutique devra être coupée en deux.
Les chiffres ? Au top ! Après un rendez-vous avec l’architecte et plusieurs devis, rien de grave à signaler – à part une petite tâche suspecte sur un plafond. On verra… qui s’en soucie quand l’immeuble a l’air solide ?
Financement validé, le banquier est confiant. On signe à temps et on lance les travaux. La démolition fait son show et… surprise ! Des pépins non repérés surgissent :
Résultat : le chantier s’étire sur deux ans au lieu d’un, et je dois doubler mon apport financier.
Leçons de ce parcours chaotique :
Et l’histoire finit en beauté : des loyers qui explosent le budget initial, des charges maîtrisées et une rentabilité permettant de rembourser mes apports en seulement 2,5 ans. Pas mal, non ? 🏢💰